Lucille LEBELTEL 

Diplômée d’une Haute École à Liège, en Belgique, depuis 2016, Lucille Lebeltel a exercé dans différents contextes, en Institut Médico-Éducatif puis en libéral, en France, dans des régions allant de la Bretagne à la Corse en passant par les Antilles. Elle a ensuite poursuivi son parcours en Suisse, d’abord dans le canton du Valais puis à Fribourg, où elle a pu travailler au plus près des écoles.
Riche de ces expériences, c’est à Chêne-Bourg qu’elle a choisi d’ouvrir un cabinet indépendant, dans le canton de Genève, un environnement multilingue et pluriculturel, au cœur d’une société dynamique.
Passionnée par son métier, forte d’une expérience et de multiples formations complémentaires, elle s’attache à utiliser des batteries d’évaluation standardisées récentes accompagnées d’une analyse clinique précise afin de décrire le plus fidèlement possible le profil de la personne évaluée et de proposer une prise en charge personnalisée et adaptée, tenant compte des données probantes issues de la recherche en logopédie/orthophonie.
Lucille Lebeltel prend en charge toutes les pathologies de sa discipline.
Accréditée par le Service de Pédagogie Spécialisée (SPS) du Canton de Genève, elle accueille des enfants, adolescents et jeunes adultes de 2 à 20 ans présentant un trouble déficitaire de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDA/H), un trouble du spectre de l’autisme (TSA), un bégaiement, un trouble oro-myo-fonctionnel, un trouble du langage oral (difficultés d’articulation, d’expression ou de compréhension), un trouble du langage écrit (lecture, orthographe, compréhension écrite) ou encore un trouble de la cognition mathématique (calcul, raisonnement logique). Dans ces situations, les prestations peuvent être remboursées par le canton, sous condition d’octroi.
Elle peut également proposer des bilans et séances pour les enfants de moins de 2 ans et les adultes de plus de 20 ans, pour des pathologies telles que les troubles de la voix, les troubles langagiers ou communicationnels liés à une maladie neurologique ou neurodégénérative, les dysphagies ou les dysarthries. Dans ces cas, les prises en charge ne peuvent pas être remboursées par l’État de Genève.